Semaine du 15 au 22 mars
Wo aber Gefahr ist, wächst Das Rettende auch.
Mais où est le péril, croît Le salutaire aussi.
Hölderlin “Patmos”
Par temps de confinement et tant que nous avons la santé, accrochons-nous aux belles choses qui nous entourent : la musique en fait partie bien évidemment. Déjà je me réjouis du jour où je retrouve mes amis choristes pour chanter – restons optimistes, même, s’il est clair que cela risque de durer !!
Pour ma part, je m’accroche à mes pinceaux et à mes lectures. J’ai recours à la poésie actuellement : quoi de mieux que de se nourrir auprès de poètes tel Apollinaire, Verlaine, Rimbaud, Musset, George Sand …
Hölderlin, Goethe, Rilke…
Voyons voir ce que mes pinceaux vont dire ?
Clair de lune
À chacun la liberté de voir dans les tableaux ce qu’il veut, ce qu’il peut ; c’est fondamental !
Pas de souci ; j’ai aussi de quoi servir les adeptes de l’humour noir.
Noir, blanc ou rose, l’humour est essentiel,
en temps de crise surtout.
Humour noir
J’ai un besoin irrésistible de partager ce que mes pinceaux racontent.
Voilà ce qu’ils vous disent aujourd’hui :
S’évader
« S’évader » - ma façon à moi de m’échapper du confinement.
« Le bonheur est la seule chose qui se double si on le partage » disait Albert Einstein.
Chanter à Ettore le « Wiegenlied » de Brahms
Le comble du bonheur
Improvisation 1
Voici un poème que j’adore depuis toujours
J’entends la musique de la pluie…
O bruit doux de la pluie
Par terre et sur les toits !
Pour un cœur qui s’ennuie,
Ô le chant de la pluie
Verlaine
La musique
Et comme dit Nietzsche :
« Sans la musique, la vie serait une erreur »
Il y a la nature aussi qui me fait rêver
Poème de George Sand
A Aurore
La nature est tout ce qu’on voit, Tout ce qu’on veut, tout ce qu’on aime. Tout ce qu’on sait, tout ce qu’on croit, Tout ce que l’on sent en soi-même.
Elle est belle pour qui la voit, Elle est bonne à celui qui l’aime, Elle est juste quand on y croit Et qu’on la respecte en soi-même. …..
Et il y a ceux qui, par temps de confinement, attirés par la nature, se promènent le long d’un fleuve : ils me font rêver.
Mes pinceaux se mettent à délirer sur le sujet
Commentaires